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Non, l’IA ne va pas voler notre travail

Avant l’arrivée des robots et de l’IA, notre monde a connu de nombreuses avancées technologiques. Elles ont révolutionné notre façon de vivre, mais aussi de travailler. Pourtant, il existe toujours autant, sinon plus d’emplois à occuper pour nous, les humains.

C’est bel et bien l’homme qui est à l’origine de ces innovations, qui génèrent actuellement bien plus d’emplois qu’elles ne permettent d’en remplacer. Pas de panique, donc : la balance penche largement en notre faveur. Qui plus est, l’homme sera toujours chargé de superviser les actions de ces machines.

L’empathie, secret d’une relation saine entre homme et machine

Pour que l’usage de technologies telles que l’IA ou la robotique soit sain et viable, il est essentiel de créer de l’empathie entre l’homme et la machine. Grâce à ses voitures autonomes, Mercedes-Benz a réussi à créer ce lien avec son système « me connect ».

Comment ça fonctionne ? Conducteur et véhicule interagissent par le biais d’une application à distance, mais une fois dans l’habitacle, la communication se fait par le biais de messages et codes couleurs. Une relation qui s’humanise peu à peu au gré des innovations.

Pour mieux vivre avec ces technologies, nous devons donc accepter leur présence, comprendre leur rôle et être ouvert à la coopération. La vraie question est : que faut-il mettre en place pour faciliter leur adoption ?

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Mettre la robotique au service de l’humain, et non l’inverse

Mettre au point une nouvelle technologie est un pas en avant pour l’humanité, mais s’en servir à de bonnes fins est indispensable si l’on ne veut pas courir droit à la catastrophe. Pas à pas, nous devons apprivoiser et intégrer ces technologies mais ne pas en devenir esclave. En mettant l’IA et la robotique au profit de l’humain, les craintes et angoisses disparaîtront car chacun pourra y trouver un intérêt.

Dans le cas d’un homme augmenté, la technologie est perçue comme une valeur ajoutée pour améliorer ses performances ou même pallier certains handicaps… L’homme n’est pas remplacé par la technologie mais s’en sert comme un moyen de devenir meilleur.

Et pour garder l’ascendant sur la machine, cultiver l’intelligence émotionnelle est primordial. Intangible mais bel et bien réelle, c’est elle qui nous apporte une valeur ajoutée et nous distingue véritablement de la robotique.

Pour appréhender sereinement un avenir aux côtés d’IA et de robots, il faut garder en tête que ces technologies ont pour finalité d’augmenter l’homme, pas de le remplacer. Afin de ne pas entrer dans l’ère de l’esclavagisme algorithmique, la naissance et la présence d’une machine doivent avant tout avoir un réel sens et répondre à un besoin. Le tout, en conservant une véritable éthique.